Pensionnat Phoebe
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Pensionnat Phoebe

Ne serait-ce pas beau, un monde où nous serions tous amis ?
 
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 Mon arrivée au Pensionnat

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MessageSujet: Mon arrivée au Pensionnat   Mon arrivée au Pensionnat EmptySam 3 Nov - 12:21



Mon arrivé au Pensionnat



Je ne commence a douter de mettre inscrite dans se pensionnat , j'ai assez peur je doit l'avouer. Deux grand valise dans les mains et un air fatiguer ne sont que les chose que l'on voit de moi . Une immense porte est face a moi , mon taxi ma poser a un kilomètre du pensionnat et je suis épuisé. J'ai marcher pendant un bon moment et je me retrouve face a mes doutes , qui je trouve , sont bien représenter par la grande porte qui se dresse devant mes yeux. Je pose mes valises d'un coup , un filet de poussière et éjecter par le choc , mes mains se pose sur la porte et commence a la pousser. Je récupère mes dernière force et j'arrive enfin a entrer dans cette endroit ou je passerai un bon bout de mon adolescence. Le hall est impressionnant , ma timidité prend le dessus tout comme des doutes que j'ai accumuler depuis quelque temps. Mais s'est normal après tout , j'ai laissé ma vie pour allez ici . J’espère vraiment rencontrer des personne avec qui je m'entendrais bien . J'en est tellement envie ! Je tire mes valise dans la hall du mieux que je le peut , je ne voit personne , je suis seule dans cet immense endroit et je suis vraiment perdue .

_ Il y a quelqu’un ?

J’appelle , je souhaite qu'on m'entende car je ne sais pas quoi faire . Et puis je ne connait personne , j'ai laissé mes quelque amis derrière moi , faite qu'un personne me réponde...







Dernière édition par Violette Oita le Lun 5 Nov - 11:01, édité 1 fois
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Haru Kazama

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MessageSujet: Re: Mon arrivée au Pensionnat   Mon arrivée au Pensionnat EmptySam 3 Nov - 13:41



Ennui, ennui ~
Depuis quelques jours, le monde n’était plus qu’ennui. Ni le soleil, ni le beau temps n’influait sur ce sentiment négatif. Cet astre étant de plus en plus rare avec l’hiver proche, il aurait dû jouer un rôle important pour contrer cet état d’esprit négatif, mais Haru restait ennuyé. Ennuyé par sa vie, ennuyé par le pensionnat, ennuyé, tout simplement. Régulièrement, cela venait le ronger : Il entrait alors dans une phase où ni la chaleur de ses amis, ni les psychologues n’arrivaient à l’en tirer, comme s’il était attiré imperceptiblement par l’ennui. Était-ce à cause de son passé tragique, qu’il essayait d’oublier, mais dont les souvenirs revenaient toujours à la surface ? Ou alors à cause de lui ? A cause de ce qu’il est, de ce qu’il représente ? Ou de ce qu’il n’est pas, et ne pourra jamais être ? Il est un chiita, un guépard de la famille Kazama, qui ne manque pas d’argent, peut s’acheter tout ce qu’il veut, et qui possède un bon nombre d’amis. Mais malgré tout cela, malgré tout ce qu’il possède, il y a quelque chose qu’il ne peut plus être : Il ne peut plus être un frère. Ni un enfant. Puis ce que sa mère, son père et son frère sont morts. De la façon la plus horrible qu’il existe : dans un meurtre. Et même après tout ce temps, après tout ces jours, ces mois, Haru pensait encore à ça. Il en voulait de moins en moins aux yajuus aériens, mais lorsqu’il pensait à son passé, il ne pouvait pas s’empêcher de les haïr. Cette haine durait quelques heures, voir quelques jours, mais lorsqu’elle se déclenchait, le garçon évitait de croiser des volatiles, plus pour ne pas les tuer que pour ne pas raviver ses souvenirs.

Il était dur de sortir Haru de ses « crises ». Enfermé dans ses sentiments néfastes, il refusait de parler ou de voir ses amis. C’était comme si pendant ce lap de temps il devenait insociable. Ce qu’il n’était pas : Tout le monde au pensionnat avait déjà croisé Haru l’extraverti, celui qui s’habille dans un style qui attire l’œil, et qui n’hésite pas à aller vers les gens, parfois pour se bagarrer, mais dans la majorité des cas pour rire. Oui, cela ne lui ressemblait pas de couper les ponts avec tout le monde. Pas du tout. Mais il préférait le faire pour ne pas perdre ses amis. Car il savait très bien qu’il était insupportable lorsqu’il se renfermait dans ses souvenirs. Devenant colérique, irresponsable et violent, Haru ne voulait pas qu’on le voit dans cet état. Alors, il s’isolait. En commençant par sécher les cours. Puis, il allait dans les lieux que presque personne ne fréquentait, comme la forêt, l’église abandonné ou le toit. Fuyant dès que quelqu’un l’approchait, se cachant aux yeux des autres, comme un animal traqué.

Les jours de cours étaient les plus simples : Personne ne traînait dans les couloirs, le pensionnat était entièrement vide, sauf dans les salles, et pendant les intercours. Cela facilitait énormément les déplacements. Il était aussi plus facile de trouver un endroit ou se poser. Aujourd’hui, Haru avait choisit les escaliers, dans le hall. Sa chambre aurait été parfaite, mais il n’était pas dit qu’une de ses colocataires ne serait pas venue pour le forcer à assister aux cours. Ne voulait pas risquer sa tranquillité, il avait préféré aller ailleurs. Et ce ailleurs était là où il était assit. Normalement, il ne devrait croiser personnes. Les surveillants ne viennent jamais par là, trouvant que ce serrait trop effronté pour un sécheur de venir ici. Les sécheurs évitent de venir dans un endroit aussi voyant. Et les élèves normaux, « travailleurs », vont en cours. Pourtant, quelqu’un parla. Une voix féminine, qui semblait aussi perdue que sa propriétaire. Ne souhaitant pas se faire repérer, Haru resta silencieux, assis sur ces marches, espérant que la nouvelle arrivante passe son chemin sans regarder dans sa direction. Mais ce fut raté. Son regard croisa celui de l’étudiante, et il sût qu’il n’avait d’autre choix que de répondre.

«Personne n’est là. »


[Désolé, j'ai fait un Haru pas de bonne humeur pour ton premier rp '-']


Dernière édition par Haru Kazama le Mer 7 Nov - 2:57, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Mon arrivée au Pensionnat   Mon arrivée au Pensionnat EmptyDim 4 Nov - 17:05



Premiere rencontre



Je me disait parfois que ma vie avait était une immense erreur , javait causer la perte de ma mère et bien que je ne le montrer pas cette culpabilité me ronger . Je cachais se mal être par des sourires mais je savais bien que je n'était pas vraiment heureuse . Une peur d'aller vers les autres était bien pressente , je n'avait pas de probleme avec les gens , je mourait d'envie dallez vers eux mais je n'y arrivais pas pour autant.Ou plutôt je me l’interdisais , je ne voulais pas détruire les gens . Je savais bien que je n'était pas une fille qui portais malheur mais avec le temps je m'en était persuader.

Je commence a en avoir marre d'attendre , je suis exténuer , je suis peut être arriver trop tôt , ou trop tard... Mais une voix décida enfin de répondre a mon appel.Je me dirigea vers l'endroit d’où la voix venez , il est dans les escaliers , un jeune garçon . Il doit a peut prés avoir mon age. Mais il est seul , je doit être arriver aux heures de cours . Je m'approche vers lui , mes mains se pose sur les valises et un air blasé sur lit sur mon visage. Je les tire comme je peut et m'approche vers le garçon en face de moi.

_Bonjour ! je m’appelle Violette , je suis nouvelle... et je doit avouer que je suis un peu perdu dans cet endroit immense...

Je suis fatiguer et j’espère qu'il puisse m'aidez , faite que lui aussi ne soit pas nouveaux car je ne vais vraiment pas y arriver ... J'attends sa réponse avec attention , j'ai vraiment envie de m'installer ici pour de bon. Et je rêve que cet endroit me face oublier mes doutes et mes angoisses.





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Haru Kazama

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MessageSujet: Re: Mon arrivée au Pensionnat   Mon arrivée au Pensionnat EmptyMer 7 Nov - 2:40

Quand la moral nous rattrape...
Jamais personne n’a idée de s’assoir sur les escaliers. Ceux-ci sont si froids, si incommodants, qu’il est dur de les visualiser autrement que comme des escaliers. Servant jour et nuit de point d’attache entre le premier étage et le deuxième étage, ils sont régulièrement foulés par les pieds des personnes peuplant le pensionnat. Majestueux et impérial, sa stature s’impose à la vision où que l’on soit dans le hall, il est impossible de ne pas le voir. Dressé entre deux portes qui viennent renforcer l’impression solennelle qu’il donne, il est la première chose sur laquelle se pose le regard lorsqu’il entre dans la salle. Puis, ce dernier se met à dériver vers les nombreux tableaux de la salle avant de se perdre dans l’immensité du plafond. Ce schéma se répétait à chaque fois qu’un nouvel arrivant rentrait dans le hall, Haru avait pu en être le témoin. Mais parfois, il y avait une exception. Une exception qui venai briser tout ce monotone. Tout le quotidien des nouveaux arrivants se brise à cause de cette personne qui n’aura pas respecté le schéma. En considérant l’ennui de la chose, ce n’est pas si mal que quelqu’un ne fasse pas comme les autres. Même si cela arrive peu souvent. Même si cela est si rare que les toiles d’araignées ont le temps de se former partout dans la salle, cette personne venant briser les protocoles ; inscrits par les arrivants avant elle ; prouve qu’elle va sortir du lot pendant les prochaines années. Qu’elle sort déjà du lot même. Que ce soit pour son originalité ou par son extravagance. Pourtant, Haru avait lui aussi eu le même schéma, dans le désordre : Il avait tout de suite regardé les tableaux. Puis ensuite, il avait regardé la salle, le plafond, les murs, l’escalier, les portes, pour ensuite se bagarrer avec des pensionnaires. Pas très glorieux comme entrée, mais pour un chiita, il ne fallait pas s’attendre à des prodiges. Au moment de son arrivé au pensionnat, le jeune homme venait en plus de perdre une partie de sa famille, donc une partie de son humeur en avait dépeint. Il avait alors la même humeur qu’aujourd’hui. Maussade et déprimé. Ennuyé et énervé. Maussade par le temps. Déprimé par l’absence d’horizon qu’offrait son avenir. Ennuyé par la vie. Enervé contre ceux qui avaient tué sa famille.

Même si les escaliers restaient dénudé de présence prolongée, parfois il avait la compagnie d’Haru, qui s’installait et restait là, quelques minutes qui avaient pour habitude de se transformer en heure. Comme aujourd’hui. Il avait eu le temps d’assister à deux intercours, où plusieurs élèves avaient piétiné les marches aussi bien pour descendre que pour monter, et avait croisé deux autres sécheurs, qui s’empressaient de traverser le hall pour ne pas se faire prendre. Et puis, il y avait eu cette nouvelle qui était arrivée. Venant casser la monotonie à laquelle s’était habituée Haru lorsqu’il séchait. Plutôt grande, elle avait de beaux yeux violets, camouflés par des lunettes rouges et des cheveux noirs. Ce qui surprenait le plus chez elle était le fait qu’elle soit habillée comme un garçon. Pas que son manque de coquetterie étonna le chiita, il était trop morose pour réfléchir aujourd’hui, mais cela pouvait surprendre au premier abord. Lorsqu’elle s’approcha de lui, le pensionnaire la fixa, hocha la tête comme un signe de bonjour puis se mit à parler.

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« Haru, ici depuis plusieurs mois. »


Là, il hésita à l’aider ou à la laisser se débrouiller. Vu son état d’aujourd’hui, et de ces derniers temps, la deuxième solution paraissait la mieux. Mais juste par morale, et par civilité, le jeune homme se décida à faire plus que de la laisser se dépatouiller seule. C’était aussi une occasion pour renouer avec le monde, étant dans cet état depuis quatre jours exactement, Haru commençait à vouloir redevenir sociable. En bon excentrique et extraverti, cela le démangeait de plus en plus. Mais malgré sa bonne conviction du moment, cela ne l’empêcha pas de soupirer.

« Bienvenue au pensionnat pheobe ma chère ! Un endroit immense, où il n’y a jamais personne pour accueillir les nouveaux. C’est limite si on ne les laisse pas dormir dehors quelques fois. Dit-moi ta chambre, je serrai ton guide. »
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Dernière édition par Haru Kazama le Mer 7 Nov - 16:23, édité 4 fois
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MessageSujet: Re: Mon arrivée au Pensionnat   Mon arrivée au Pensionnat EmptyMer 7 Nov - 14:32



Chat de gouttière



Je ne peut m’empêcher de soupirer et de me plaindre intérieurement car la fatigue commence a me ronger. Mais j'essaye comme je le peut de rester poli surtout face a la seul personne voulant bien m’accueillir , volontairement ou non.Je lui fait un sourire et je me détend ne voulant pas avoir l'air aussi sauvage qu’un chat de gouttière bien que cela soit ma vrai nature. Quand il se présente je lui affiche un sourire joyeux pour cacher mes angoisses. Âpres tous il aurait pu me laissez en plan , me laissez me débrouiller , mais il ne la pas fait. Il est même plutôt drôle et gentil , et puis s'est un garçon et je m'entend mieux avec eux qu'avec les filles. Rien que leurs histoire de maquillage , cela m'intrigue . Je ne comprend pas que gâcher une a deux heures de sa journée soit agréable , tout pour au bout être juste comme les autres. Je n'aime pas les moutons qui souvent leurs berger même si il les amène a l’abattoir.

Je herche dans ma poche le morceau de papier ou j'ai écrit le numéro de ma chambre , après une bonne minutes a fouiller comme une débile dans ma poche je le trouve , s'est écrit sur un petit bout de feuille a dessin complétement froissé.

_ Enchanté Haru ! je suis dans la chambre 5 et dans le dortoir Gaïa ...

Je regarde mes pieds un peu honteuse de ne pas être plus gentille. je suis assez étrange , en tout cas s'est se que l'on, dit de moi lorsque l'on me voit. Je tire mes valises vers moi et me met en position comme pour dire que je suis prête a allez visitez ma chambre.

_Au fait ... Merci de m'avoir accueilli !





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MessageSujet: Re: Mon arrivée au Pensionnat   Mon arrivée au Pensionnat EmptyMer 7 Nov - 23:23

Un défi à relever.
Une terrienne. Une de plus. Les Aériens commençaient à être désavantagés avec leur effectif nettement inférieur aux terrestres. Du côté des Aquatiques, c’étaient encore pire : on devait en compter un ou deux sur dix pensionnaires. Dans le monde extérieur, la parité entre les yajuus était réelle, mais ici, au pensionnat Pheobe, les différences de nombre étaient si grandes que l’on ne pouvait même plus parler de parité. Aucun complexe d’infériorité ou de supériorité n’était pourtant venu briser le fragile équilibre maintenu dans l’établissement. Depuis l’arrivé d’Haru à Pheobe, rien n’avait dérangé l’école. Ni les perturbateurs, ni les espions n’avaient réussi à briser cette paix instable, qui risquait de se feuler, puis de se briser, à tout moment. Ils avaient bien essayé, mais cela n’avaient pas marché, malgré toutes leurs machinations et manipulations. On ne comptait plus le nombre de fois où l’un des rebelles avait provoqué une bagarre, une diversion, pour aller prendre des informations confidentiels dans le bureau du proviseur. Quelques fois, cela servait aussi à d’autre fins, plus sanglantes. Plus inquiétantes aussi. Plusieurs élèves avaient été retrouvés ensanglantés, les vêtements parfois déchirés. Torturés par des rebelles. Le nombre de ces malheureuses personnes était minime, se rapprochant du zéro, mais il existait. L’administration faisait ensuite tout pour faire taire les rumeurs qui circulaient sur ces tortures, comme si elles n’avaient pas existé. Comme si elles n’avaient pas lieu d’exister. Qui voudrait aller dans un pensionnat où il y aurait de telles choses ? Personne. Et la directrice le savait pertinemment. C’est dans ce but qu’elle effaçait ces gestes macabres de l’histoire de Pheobe. Il y avait aussi des fois où la diversion était utilisée pour quelque chose de plus subtile. Quelque chose qu’on ne risquait pas de découvrir. Comme lorsqu’un espion fouillait la mémoire d’un élève. La diversion n’étant pas primordiale pour ce genre d’affaire, il arrivait même que les rebelles regardent dans la mémoire de quelqu’un dans une foule. Cela c’était déjà vu. Plus d’une fois un élève c’était plain d’avoir un trou de mémoire ou avait déclaré qu’il se sentait vide. Les espions n’étaient pas étrangers à ces problèmes. Mais malgré tout ces événements suspects, le pensionnat restait un lieu de paix, que l’on ne trouvait nulle part ailleurs dans le monde. Un endroit convivial où se côtoyaient tous les types de yajuus, sans faire de différences, de distinctions. Du moins, sur ce plan là. Les inégalités entre rangs sociales persistaient toujours, malheureusement.

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« Mais ce n’est rien. Il faut bien que quelqu’un fasse le travail de l’administration. Le seul inconvénient est que je ne touche pas leur salaire, mais si c’est pour avoir un sourire et des remerciements à la fin, je m’en fiche presque. »


Comme Violette semblait sur le point de partir, c’est avec regret que le jeune homme se leva de sa chaise improvisée. Retenant un nouveau soupirement, il descendit l’escalier, pas à pas, jusqu’à se positionner en face de l’étudiante. Même si le sourire qui venait habiter ses lèvres assez souvent n’était pas là, il commençait à se dessiner sur le visage du garçon. Assez timide pour l’instant, se début de sourire n’en était pas moins quelque chose de bien. Peut-être que Haru pourrait sortir de sa « crise » grâce à l’arrivée de cette nouvelle ? Peut-être. Rien n’est encore sûr pour l’instant. Un bruit nouveau bruit résonna dans l’immense hall, étranger aux deux étudiants, il venait d’une autre personne. En décalant sa tête, Haru constata qu’il s’agissait d’un surveillant. Mais, malgré ce renversement de situation, il ne parut nullement inquiété, et resta aussi calme qu’il l’était. Ce même sourire qui hésitait sur son visage se dessina en entier, révélant au passage quelques dents du chiita : Il avait en face de lui un défi. Celui de partir d’ici sans que le surveillant ne le reconnaisse, et sans se faire attraper. Un défi plutôt corsé, vu la situation. Mais qui était faisable, surtout quand on s’appelle Haru.

« Ne te retourne pas, fait comme si tout était normale. Je suis vraiment désolé de ce que je vais faire. Essaye de me suivre… Une légère hésitation se fit entendre à ce moment de la phrase. Mais, Haru se reprit et ajouta, avec un clin d’œil: si tu peux. »
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Tout en finissant sa phrase, le garçon se transforma en hybride. Il avait hésité un long moment entre la forme hybride et la forme complète de chiita, mais avait penché pour la première. La raison était toute simple : Sous cette forme, il était certes plus rapide, mais il pourrait porter les valises de Violette. Qu’elle puisse fuir aussi vite que lui. Malgré cela, il ne pourrait rester longtemps dans cet état, n’ayant jamais bien maitrisé la forme mi-guépard, mi-humain. Joignant ses gestes à ses pensées, il prit les valises de sa camarade, et fila vers le premier étage, où il attendit que la jeune femme arrive, en humain, sa transformation ayant déjà lâchée. Sans savoir si elle était bien arrivée au première étage, le garçon cria presque.

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« Sort ta clé ! Ca va être juste pour lui échapper. Surtout si c’est celui qui court super vite ! »

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MessageSujet: Re: Mon arrivée au Pensionnat   Mon arrivée au Pensionnat EmptyJeu 8 Nov - 14:47



Un simple éclat de rire



Rien dans ma vie ne s'était passez comme il le fallait ,la mort me terrifié car je l'avais côtoyer a mainte reprise sous ses formes les plus horrible. le suicide de ma mère m'avait fait me renfermer , j’évite les autres de peur de leurs faire du mal sans même m'en rendre compte. Je passé souvent pour une personne forte mais je ne le suis pas , je suis faible , trop faible pour affronter la duveter de se monde. Je n'est jamais compris le geste de ma mère , je comprenais sa souffrance mais pas son abandon. Je devait faire face a la vie seule , son suicide n'avait fait que me rapprocher peu a peu du mien. Je ne demander jamais de l'aide sauf dans des cas extrême et a des personne qui ont toutes ma confiance. je cache mes larmes par un sourire hésitant ou une colère passagère. J'ai trop pleurer le long de mon enfance , aujourd'hui je n'y arrive plus . Je trouve que le fait que je soit une neko n'est pas un hasard , Je suis solitaire et sauvage mais lorsque l'on sait me comprendre je devient une personne gentille mais pour cela un long chemin est a faire. Je sort mes griffes a la moindre occasion , je ne me laisse pas faire , je ne serait jamais soumise a qui que se soit. je serait mon seul et unique maitre.

Je voit Haru se figer , une personne est entré dans la hall . Il a l'air assez âgé , se doit être un professeur ou un surveillant , je devine vite que Haru n'est pas censé être la. Il se transforme très vite en hybride , je voit que s'est un chitta. Il prend mes valises d'un geste rapide et me dit de le suivre , je lui obéi bien que cela ne me resemble pas. je comprend qu'il ne faut pas qu'on le voit . Je prend sa main et le suis dans les escaliers qui mène dans le cœur du pensionnat. Je m’essouffle et je me transforme a mon tour en hybride en un clin d’œil. Mes pas se font plus rapide et j'arrive a le suivre . Je n'est pas le temps d'admirer l'endroit , de toutes façon je n'en avait pas l'intention. Je sort ma clé et le glisse dans la serrure de ma chambre . Je prend les valises des mains d'Haru et les jette a l’intérieur et je le tire a l’intérieur.

_ Tu voit que j'en suis capable ! Dit-je , le sourire au lèvres , un sourire qui ma tellement manqué.

Je reprend mon souffle , me pose sur le lit et j'éclate de rire. Je me sent bien , qu'elle entré , se pensionnat me réserve plus de surprise que je ne l'aurait imaginer.





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MessageSujet: Re: Mon arrivée au Pensionnat   Mon arrivée au Pensionnat EmptyDim 11 Nov - 15:34

Appelle-moi le fantôme ~
En arrivant dans la chambre de sa camarade, Haru claqua la porte derrière lui, de peur que le surveillant ne le voit en regardant par une porte ouverte. Même s’il s’était déjà fait choper à plusieurs reprises en train de sécher les cours, il préférait éviter de se refaire prendre. Pour plusieurs raisons. D’une, il n’aimait vraiment, vraiment pas les heures de colle. Déjà qu’en temps normale, il tenait les cours en horreur, raison pour laquelle il n’y allait pas, alors il préférait éviter à tout prix les heures supplémentaire. De deux, sa sœur serrait averti que son frère avait encore raté les cours. Elle allait l’appeler pour l’engueuler, le menacer de mille et une choses. Mais tout ce que craignait le chiita était qu’elle lui coupe la somme d’argent, plus que confortable, qu’elle lui envoyait chaque mois. Si sa sœur faisait ça, il serrait obligé de travailler. Ou de ne plus s’acheter de nouveaux vêtements… L’étudiant préférait encore avoir un boulot en plus, que d’arrêter ses achats excessifs. Autant donc ne pas se fâcher avec celle qui lui procurait de quoi vivre.

Les pas de quelqu’un résonnaient dans le couloir des terriens. Peut-être que finalement l’adulte les avait suivit ? Le chiita, qui se tenait derrière la porte, histoire de la bloquer si le surveillant voulait entrer, retenu son souffle. Il espérait aussi que Violette faisait de même. Parfois, il était préférable de prendre plus de précautions qu’il n’en faut, surtout que ne sachant pas qui les « traquait », Haru ne savait pas son pouvoir. Et tout comme les différents yajuus, les dons étaient tellement variés et divers, qu’il était dur de trouver celui de quelqu’un d’autre, sans un minimum d’indice. Lorsque les pas s’éloignèrent, le jeune homme se permit de souffler bruyamment. Montrant ainsi son soulagement. Puis, il se fit glisser contre la porte, pour atterrir assis, par terre. Avant tout pour reprendre des forces, avant de se relever. Ce qu’il fit quelque instant plus tard, pour s’approcher de Violette.

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« Si jamais il repasse ici, tu n’as rien vu et rien entendu, je suis une ombre, un fantôme, tout ce que tu veux, sauf Haru Kazama ~ »


Une fois cela dit, le blond se laissa tomber sur le lit, allongé sur le dos, de traviole par rapport au sens de celui-ci, en riant. Que cela était bon de rire ! Depuis le temps qu’aucun son du même genre n’avait franchit ses lèvres. Se redressant, Haru s’assit sur le lit, et s’adressant à sa camarade dit :

« Permet moi de te souhaiter officiellement la bienvenue au pensionnat ! Je pense qu’on va souvent se recroiser, je suis chambre 9. D’ailleurs, si jamais tu entends du bruit dans le dortoir. Excuse-moi d’avance, mes colocataires sont très bruyantes. »
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