(Dix lignes minimum.)
Pour commencer, remontons le temps. A cette époque, j'ai cinq ans. Maman me dit de dormir mais comment faire après avoir appris ce terrible secret? Mon père, chasseur de Yajuu! Il fait la guerre a tout va et est un dictotateur ou quelque-chose comme ça. J'entend de drôles de bruit en bas. Comme des phrases. Curieux, j'écoute sans bruit...
"Arrête ça tout de suite! on se croirait au Moyen-age!" "Ici c'est chez moi! Et c'est MON pays! Tu ne peut rien ici!" "Cela n'a aucune importance! C'est inhumain!" "Sort d'ici! Mon fils pourrais nous entendre! Je te préviens Phoebe si tu continue je vais t’envoyer...CLAC"
Un bruit de porte. Papa et cette Phoebe sont sorti. Surement l'une de ses maîtresses. Ronnnn Pishhh... Revenons à notre belle année actuelle
"Debout Flemmard!" Mon père. Encore. Comme à son habitude me ridiculisez et me dire que je serait pitoyable quand je le succéderais. Ouf! Encore heureux! Je ne veut pas finir dictateur comme lui. J'espère que vous ne fuirez pas comme tout les autres en me voyant. J'en ai marre qu'on soit mielleux avec moi sous prétexte que je peut tuer qui je le souhaite en claquant des doigts! Je vais sécher les cours aujourd'hui. On pardonnera surment le petit Pampa Fujita, je fils de Tento Fujita, craint et fuit de tous! Le seul avantage.
Je passe vraiment une belle journée pour une fois. En rentrant a la maison, je vois que mon père est au pas de la porte, bouillant de colère. Je suis mal. Il me fait rentrer et après nous etre assis sur des chaises dans la cuisine, je sentit un poing pourfendre l'air. Environ une dizaine d'autres me toucherons ainsi au visage. Je m'écrase sur le sol. Inconsient. Mort. Mort de cette première vie. Car c'est maintenant que la nouvelle va commencer...
A mon réveil, j'ouvre lentement les yeux, de peur de voir des nuage blanc tout autour de moi et un homme avec un cercle jaune autour de la tête me dire "salut! ton nuage privé est à ta droite. Fais-toi des amis si tu veut être heureux pendant cette éternité!" J'y étais presque. C'est blanc, certes, mais les nuages on été remplacé par des carreaux blanc délavé collé à des murs horrible. Et à coté de moi, ce n'est pas un homme mais une femme en blanc qui fait la tête d'une championne d'escrime quand on lui annonce qu'elle a gagné le mondial.
Dans le doute, je lance: "est-ce que je suis mort?" "Oh mon bébé, réplique cette femme que je trouve de plus en plus étrange, tu le serait sans moi et cet hôpital! Regarde! J'ai apporté Kaktu!" La femme,que je vais appeler Zarb,me désigne une plante verte tout ce qu'il y a de plus normal sur une table de chevet moche. "c'est une plante." "ta plante!, répond Zarb , et moi ta mère!" Tout s'explique! Mais c'est drôle de l'appeler Zarb.
"Je t'ai inscrit dans un endroit très très loin de ton pè... de heu... très loin de de du nid de guêpes! la-bas il y fait bon vivre et il n'y a pas de guerre!" Elle ment. Cela ce voit. Mais je ne veut pas la blesser. Zarb est tout de même ma mère!
"je peut savoir comment je m'appelle au moins?" "bien sûr! Ton est Pampa et ton nom de famille est... (rapide coup d'oeil vers la plante moche) Kaktu! Pampa Kaktu!" Bien. Je suis certain que c'est faux mais ça me va. Le lendemain, je m'avance vers les porte du pensionnat. Je lis l'inciption "Pensionnat Phoebe" Phoebe? j'ai déjà entendu ça quelque part... serait-je déjà venu? Non. C'est autre chose. Mais cela me fait mal au coeur de le lire. Comme si j'avais une sorte de dégoût pour elle. Ou plutôt de l'admiration... Je penserait à cela plus tard. Je sens que je vais me plaire ici...