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 |  Sujet: * L'ange Cupidon ... ou pas! (fini) Jeu 22 Mar - 12:30 | |
| Carte d'identité ~ | Nill, Dogs: Bullets & Carnage |
☼ Prénom & Nom : Krystal Mantely
☼ Surnom : Cupidon
☼ Age et date d'anniversaire : 14 février depuis 17 ans
☼ Sexe : mes gènes ont été raciste, j'ai que des X.
☼ Orientation sexuelle : je n'aime que moi, et la compagnie des hommes dans un lit
☼ Type de Yajuu : Aérien
☼ Race : Tsuru
☼ Rang : élève
☼ Classe : D - 8
☼ Don (voir ici) : Manipulation émotionnelle
- Informations:
Description : Qui n'a jamais rêver que la personne que l'on aime vous aime en retour? Oui, mais non! cela ne fonctionne pas ainsi. La manipulation des sentiments reste discrète et ne touche qu'en superficie, une attirance ou un rejet.
+ Avantages :
•Elle s'amuse beaucoup à mettre un peu de zizanie tout autour d'elle, un couple qui s'entend bien trop à son goût va soudainement se disputer, ou encore deux ennemis se retrouve tout à coup à se faire un câlin poussé par une irrésistible envie sortie de nul part.
•Tout aussi bien la haine que l'amour, aucune émotion ne lui échappe.
- Inconvénients :
•Elle ne touche les sentiments qu'en superficie, et cela ne dure qu'un laps de temps donné. Les deux amoureux se disputant vont vite retrouver leur sérénité alors qu'elle s'éloignera.
•Cela ne peut se faire que par l'intermédiaire de mots. Lorsque que les deux personnes sont sur le point de se taper dessus, passant comme un courant d'aire, elle leur glissera simplement le mot "câlin" et cette envie les prendra.
•Il faut qu'elle soit à portée de mots, se faire entendre, et ne peut retourner cette manipulation en sa faveur. Le garçon sur lequel elle a des vus, ne se retournera pas sur son passage grâce à son don.
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Pour tout savoir ~
Je suis belle ! Comment ça il faut développer plus que ça ? La beauté que je représente ne vous satisfait pas ? Et bien j’espère que vous le regretterez pas de demander des détails sur ma supériorité. Puis ne venez pas à dire que vous en êtes tombé amoureux, quand c’est trop facile, je vais toujours voir ailleurs. Ne tombez pas dans mon piège trop vite, cela n’en serait que moins amusant. Mais si il faut se décrire alors allons-y.
Une chevelure dorée, d’un blond si blond qu’elle en paraîtrait presque blanche. Et d’une longueur dont je suis fière. Assez homogène dans son ensemble, j’ai réussi à la garder naturelle, sans colorant ni conservateur /baffe/. Je disais donc, naturelle. Et toi, ne va pas me traiter de blondasse sans cervelle, ou tu iras embrasser le cochon même si il y en a pas dans le coin, j’en trouverais un pour toi. Je m’éloigne le plus possible des coiffeurs, ces tricheurs qui disent toujours « oui oui, que les pointes » et en sortant de leurs salons, on se retrouve avec 10 centimètres en moins. Vous me trouvez superficielle ? Attendez, vous n’avez rien vue encore.
D’un gris argenté, mes yeux pétillent, non pas d’admiration pour vous, mais d’une envie de toujours vouloir être la meilleure. Vous n’y verrez jamais la confusion, ou alors j’aurais rencontré plus fort que moi. Mais ça, ça n’arrivera pas ! Et quand je vous fixe dans les yeux, je ne baisse pas ma garde. Non, je gagne ! Tu détourneras le regard avant moi, c’est certains. Maquillés ? Oui légèrement, mais qui ne le fait pas ? Et attention, ce n’est pas parce que je me maquille comme le font beaucoup de filles qu’il faut me mettre dans le même sac que ces godiches ! Vous pensez que mon regard est hautain et méprisant ? Je croyais que vous vouliez me connaître !
Je suis grande, fine, des formes non trop prononcées. Bref, je suis attirante ! De longues jambes me portent, et ne pensez pas que parce qu’elles sont d’une grande finesse, elles ne peuvent pas me faire avancer. Bien que je semble me rapprocher plus de la brindille que du grand et fort chêne, je suis toute aussi souple que ce morceau d’herbe qui se plie au grès du vent. Cependant, moi, je ne plie pas ! Et devant personne je ne cèderais ! Sourire est si futile, cela m’arrive. Mon visage ne doit pas franchement être d’une chaleur à vous faire fondre et cela m’importe peu, à vraie dire, je m’en fiche de ce que vous pensez.
Taille, silhouette, cheveux, mon visage parfait.. Mais quoi ? Qu’est-ce que j’oublie ? Moi je n’oublie rien ! Ha vous voulez aussi je vous fasse remarque qu’il pourrait vous arriver de me croiser avec que j’ai des ailes qui trône dans mon magnifique dos. Ben voilà, alors ? Heureux ? Oui, je sais, même cela me va bien, j’y peux rien, c’est comme ça, tout me va. Les anges sont une légende ? Attendez de me voir sous ma forme partiellement transformée, vous changerez d’avis.
Bref, sous ma forme totalement transformée, je suis aussi majestueuse que la grue. Cet animal au plumage aussi noir que blanc, passant par un gris dominant, aux longues pattes si élégantes, et sa démarche gracieuse. Sans oublier ce long cou qui lui donne un air tout à fait supérieur. De grandes ailes majestueuses faites de plumes légères et qui pourtant permettent de défier la gravité. Une petite touche de rouge sur le crâne mettant une note signée de la passion du diable !
Des marionnettes ! Voilà ce qu’elle pense des gens. Pour cela, elle n’a pas vraiment d’ami. En tout cas, pas qu’elle puisse compter sur ses deux mains. Ils sont là pour faire beau… Non, elle est là pour faire jolie, eux sont là pour qu’elle paraisse encore plus impressionnante. La demoiselle snob tout le monde, tout à fait associable, elle assume entièrement sa solitude et la revendique. Mieux vaut être seule que mal accompagnée. Pourtant, elle ne joue pas les filles à déplorer. Non elle n’est pas misérable, juste trop bien pour vous. Cela pourrait lui jouer de sacré tour un jour. Qui joue avec le feu se brule les ailes.
Et pourtant, vous pouvez la croiser secourant un chat coincé en haut d’un arbre. Elle aime les animaux, et la nature. Ne la gâchez pas en jetant vos papiers par terre devant elle, vous le regretterez. Au fond, elle a bon cœur, elle ne veut juste pas l’admettre, et encore moins laisser parler ses sentiments. Elle joue donc les pestes. Très franche, elle n’ira pas par quatre chemins pour dire ce qu’elle pense de vous. Tourner autour du pot très peu pour elle. Quand quelque chose ne lui convient, elle le fait savoir, et ne va pas chercher les mots pour ne pas vous blesser. Au contraire, elle enfoncera le clou.
Elle joue avec les sentiments depuis qu’elle a son don. Vous pourrez la nommer Cupidon. Mademoiselle Cupidon ! Son sourire ? Une façade. Tout le monde l’ennui. Froide mais surement pas insipide, elle utilise les gens comme bon lui semble. Fine manipulatrice, rien ne lui fait peur. Sauf peut-être de tomber amoureuse. Comme il est arrivé au grand cupidon. Cela ne lui arrivera pas, bien trop futée pour se faire avoir. Elle se pense au-dessus de tous, et néglige qui qu’onc qui tentera de la faire descendre de son pied d'estale. Elle n’est pas faite pour se mêler à la petite gente. La méfiance est de rigueur, les sentiments dominent le monde.
Très susceptible, la moindre remarque la touche au vif. Et sa réponse sera encore plus cassante. La vengeance est un plat qui se mange froid dit-on. Et bien elle, elle l’aime chaud et épicé. Elle s’en délecte formidablement. Toujours à chercher de nouvelles astuces pour faire tourner le monde en bourrique, elle ne recule pas devant les obstacles qui pourrait lui barrer la route. Non, elle les ignore et les méprise. Rien ni personne ne peut l’arrêter, et jamais elle n’avouera sa défaite. De mauvaise foi ? Non, de toute façon, les excuses sont pour les faibles. Ce qu’elle n’est pas puisqu’elle est parfaite.
L’Homme n’est pas parfait ? Tant mieux, c’est une femme. La demoiselle aime les hommes. Oui, les vilains garçons qu’elle met à la porte le lendemain matin, au lever du soleil. Et tant pis s’ils sont encore en caleçon. Après tout, ce n’est pas son problème. Elle n’éprouve aucune gêne dans ses agissements et aucuns remords. Et pourtant, elle aime que le monde aille bien. Même si elle s’en amuse. Voir une bonne bagarre n’a rien de distrayant si cela se passe tous les jours. Elle joue de ça aussi. Faire en sorte que tout tourne droit, une raison de plus de venter ses mérites. Elle aime être en haut de l’affiche !
Elle ne supporte pas l’injustice et se mêle de ce qui ne la regarde pas. Quitte à s’immiscer dans la vie des gens, si cela lui semble nécessaire, elle n’hésitera pas. Une fonceuse, elle n’est pas aussi méchante qu’il n’y parait. Volant au secours des gens, qui selon elle, qui en ont besoin. Elle ne laissera pas ce pauvre garçon se faire taper dessus sans agir. Et s’en ira avant même d’être remerciée. Ne voulant pas qu’un chien-chien lui colle au train pour payer sa dette. Disparaissant aussi vite qu’elle est venue, les gens pourraient presque penser à une illusion. On pourrait penser qu’elle en rehausserait ses mérites, mais pas dans ces situations. Cela casserait toute son image d’insentimentale.
J’ai toujours été une princesse pour mon père et un petit monstre pour ma mère. Mes parents sont divorcés, et cette femme me dit tout le temps que j’en suis la cause. Je lui ai piqué l’homme qu’elle aime. Je suis une peste, comme elle le dit si bien. Comme cette maladie apportée par les puces des rats marins. Je détruis tout sur mon passage ! Elle dira autant de mal qu’elle le voudra, la bave du crapaud n’atteint pas la blanche colombe. Je l’aime mon père, il a toujours le mot pour me remonter le moral quand ça va pas. Pour lui, je vais toujours bien. Mais en attendant, toute histoire doit avoir un commencement, la mienne débuta un 14 février, le jour des amoureux dit-on. Un mois à peine avant la plus belle des saisons. Il y tant de couleurs et de parfum qui se mélange. Les animaux sortent de leurs cachettes pour faire la fête. Bref, je m’égare là. Donc reprenons, je suis née le 14 février. Jour où l’on célèbre les amoureux. Vers 19h36, le docteur annonçait que j’étais une fille. Bien sûr, comme tout homme fort et courageux, mon valeureux père s’était évanoui. Lieu de naissance ? L’hôpital bien sur, comme tout le monde, mais sachez que j'étais le plus beau bébé à naître ce jour là. Donc, je disais, je suis née à l'hôpital, en présence de mon papa et évidemment de ma mère, un docteur tout à fait charmant et deux autres infirmières. Ces gens-là m’ont fait pleurer, comme ils font avec tous les nouveaux nés. Non, ceux ne sont pas des monstres. Pesée, mesurée, lavée, emmaillotée, tout ceci dans un ordre qui m’est inconnu, pour enfin me rendre à mes parents dans un état disons, présentable. Ces deux personnes s’aimaient, plus que tout se disaient-elle sans cesse. Pourtant, je n’ai pas eu la vie rêvée d’une famille parfaite. Maintenant, je pense même que s’il en avait été autrement, je me serais fortement ennuyée quand même. Enfin voilà, au début tout allait comme dans les familles normales. On présente le bébé à tout le monde, on vante la beauté de ce petit être doté d’une partie de nos gênes. Ce petit bout d’humain qui va devenir grand, beau et fort comme vous. Ouais, juste après sa venue au monde, la plupart des parents en sont très fiers. Puis j’ai grandie et mon père est devenu complètement accro à mes fossettes. Il était tout le temps à chercher de nouvelles astuces pour me faire rire. Tant que cette femme que j’appelle maman en est devenue complètement jalouse. Une folle hystérique moi je dis, mais bon. Je pense que malgré la mauvaise langue qu’elle est, mon père n’a jamais cessé de l’aimer, il partageait juste tout son amour entre les deux femmes de sa vie. Et ça, elle n’a pas su le comprendre. Cette aventure a fini par un divorce alors que je savais à peine mettre un pied devant l’autre. Ballotée de maisons en maisons, oui, j’avais deux maisons rien que pour moi. Une seule école et toutes les deux semaines, je changeais de main à la sortie des classes. Dans une des maisons, je n’entendais que du mal de mon tendre papa, quand à lui de son côté, il n’osait pas dire de méchancetés, mais cela se voyait qu’il en pensait long. Pour lui, bon partis, il s’était juste fait avoir par cette femme croqueuse de diamant. Il m’a élevée dans l’intérêt et la méfiance envers autrui. « Les gens sont viles et cruels, il faut t’en méfier. Quelques rares fruits ne sont pas pourris, trouve les et seuls à eux tu pourras donner ta confiance ». Et il avait raison, les gens ne sont pas tous bons. J’ai connu cela lors du collège. On s’était juré de ne jamais se séparer, et il est finalement partit. Avec mon ami du primaire, on s’était fait la promesse du petit doigt d’être inséparable. Si on ne nous mettait pas dans la même classe, on jouait les capricieux jusqu’à faire craquer les enseignants pour qu’ils nous changent de salle. Pourquoi faire autant d’histoire pour un ami ? Il était plus qu’un ami pour moi. Au début, je le prenais pour mon grand frère, puis en grandissant, je me suis aperçu que je l’aimais. Je n’ai jamais su ce qu’il en venait de ses sentiments à lui. Je n’ai ni posé la question et il n’a ni confessé un quelconque béguin. J’étais sa meilleure amie, sa partenaire. Il aimait Célia. La blonde du premier rang. Toujours première de classe, la chouchoute des professeurs et adulée par les autres élèves. Ben moi je l’aimais pas, pas du tout cette Célia. Je souhaitais qu’elle parte, loin, très loin, et pour toujours. Au lieu de ça, c’est lui qui est partit. Alors qu’il avait promis de toujours rester avec moi, il a déménagé, sans rien me dire, comme ça du jour au lendemain, il n’est plus venu à l’école. Et le soir en lui portant les devoirs, un gros camion refermait ces deux grosses portes arrières sur toutes ses affaires. Il s’est éloigné, sans même me laisser un mot d’adieu. Vous penserez ce que vous voudrez, pour moi, c’était comme une trahison. Je ne suis pas devenu méchante pour autant. Ne croyez pas tous ces gens, ils vous mentent ! Je suis juste devenu légèrement associable. Et à entendre mes parents sans cesse se chamailler pour un oui ou pour un non, je ne suis pas non plus devenue sentimentaliste. Ni romantique, ni fleur, ni rien du tout. Je suis juste devenue moi. Je veux marquer les esprits, et sans me vanter, je crois que ça fonctionne assez bien. Ma mère n’a plus jamais voulut que je passe la porte de sa maison. Je n’allais pas m’en plaindre. J’avais mon père, qui lui m’accepte telle que je suis. Bien qu’il ait un peu râlé, il était tout de même plus retourné contre cette femme qui avait osé mettre à la porte sa propre progéniture. Après ça, je n’ai plus jamais eu de nouvelle de la part de cette madame, qui quelques années plus tôt m’avais mise au monde. Je crois qu’elle a un peu oublié. On ne vous a jamais dit que l’habit ne faisait pas le moine ? Et bien ça ne fonctionne pas vraiment avec moi. Je parais froide au premier abord, et tout aussi froide au second. Bref, mon coeur est fait de glace et celui qui viendra le réchauffer n'est pas encore né selon moi. Je ne souhaite pas me piéger dans les sentiments si c'est pour que cela finisse comme mes parents. Et finalement mon père a eu un accident. Du genre fatal! Je n'ai pas eu le choix, ma mère non plus, je suis retourner vivre chez cette sorcière. Enfin pas très longtemps puisqu'elle trouva bien vite une solution de secours à sa situation misérable en héritant de moi. Elle m'envoya au pensionnat! Arrivé sur les lieux, ce fut direction l'infirmerie où l'on me tatoua une sorte de grue. J'en étais très fière de ce dessin. Il me représentais parfaitement. Gracieux, un air de supériorité, oui parfait! - Spoiler:
Parce qu'on veut te connaître ~ • Comment as-tu découvert ce forum ? : Grâce à votre partenariat avec le pensionnat Sweet Amoris
• Pourquoi t'être inscrit ? : le contexte m'a attirée tout autant que le design du forum, puis niveau des races, je trouve que cela change des éternels vampires Vs loup-garou, ou nekos Vs maitre.
• Que penses-tu de ce forum ? : ce forum est une merveille comme chacun des forums sur lesquels je m'inscrit
• Une remarque à faire ? : Nan Pumba, pas devant les enfants voyons! /briques/
• Ton niveau de RP (sur 10) : je ne me suis jamais notée, j'espère atteindre la moyenne
• Preuve de lecture du règlement :
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