(Dix lignes minimum.)
Je suis née le 6 janvier, fille unique d’une petite famille de Yajuus aérien je me fis appeler Jeanne, Jeanne Apocrypha ou Apocry'. En effet mon nom de famille était étrange comme le disait plusieurs de mes amis. Née avec le don de brûler toute sorte d’armes en métal qui me fit faire beaucoup de dégât dans la maison. J’étais tombé amoureuse des épées comme l’étais tombé mon grand père qui nous avais laissé dans notre grand grenier plusieurs épées et plusieurs armures. Plusieurs fois ma mère avais crié des « lâche moi cette chose » ou bien des « C’est trop dangereux ! » Cependant je ne l’avais jamais écouté, je voulais paraitre la plus forte de la famille ! Oui être la meilleure, la plus belle ! La plus gentille et la plus forte ! J’étais vraiment une fille égocentrique… Mais cela dépend parfois des jours. Je n’aimais vraiment pas que les autres se sente supérieure à moi, j’étais peut être petite mais, forte très forte !

Les années passait et mon êtas se dégradais, alors face à cette chose qui me rongeais de l’intérieure je passais plusieurs de mes journée à l’hôpital, passant et repassant des testes sens trop comprendre se qu’il m’arrivait vraiment. C’était en effet le seul moment de ma vie où je me sentais rejeter. Complément seul face à mes douleurs, j’avais peur, peur de n’être plus aimer par mes proches qui s’éloignaient de plus en plus de moi. L’hôpital devenait l’un des endroits où je passais ma journée, ma semaine ou même mes vacances scolaires. De jour en jour la déprime me parcourait, je ne savais plus ou j’en étais. Qu’est ce que j’avais pour tousser violemment jusqu’à en cracher du sang qui m’empoissonnait la bouche.

Cela fessait déjà quelque mois que je n’étais pas retournée à l’hôpital, malgré que mon êtas étais en plaine chute mes parents m’offrit tout ce que je voulais, de la nourriture bien équilibrés, une épée, une armure, des ustensiles de beauté mais, tout se que je voulais étais de l’amour et comprendre pourquoi tout cela arrivais ? Je décidai alors d’attendre mais, l’attente ne fut pas longue. Dans la chambre de mes parents un vent violant avais fais claquer la porte, sursautant de peur j’ouvrais la porte et des papiers étais tombé d’un carton à cause du vent, m’approchant de celui-ci je pris les papiers entre mes main et les regardais un petit instant jusqu’au moment ou je tombais sur des teste médicale avec mon prénom en haut de la feuille. Prenant celle-ci entre mes mains et lassant tout les autres au sol je me mis sur le lit pour la lire de plus prés, je comprenais mieux maintenant… Il m’avait caché depuis le début quelque chose… quelque chose qui me fit sangloter toute la journée.

J’étais atteinte par le Cancer du poumon et il n’y avait aucune chance pour que je survive à cela. Il était en trop tard. La maladie étais déjà propagé je n’avais plus aucune chance. A plusieurs reprise des en gueulades avais pété dans ma maison, j’étais en effet en colère contre eux, ils m’avaient caché ma maladie pour pas que je ne démoralise mais, ils avaient oubliée à qu’elle point j’étais forte et cela m’avais beaucoup blessé, mes parents m’avais complètement ignoré. J’étais âgée de 18 ans et j’approchais de mais 19 ans. Parfois je me posais une question « Combien de temps me reste t’il à vivre ? » Les mois son passé et j’avais désormais 19 ans, devenue une magnifique jeune femme je voulais quitter ma famille pour aller dans un endroit ou je pourrais profiter des quelque mois ou années qu’il me restait a vivre parmi les vivants.
Regardant des brochures de pensionnat j’étais tombé sur un certain pensionnat nommé « Phoebe » Montrant tout cela à mes parents ils ne refusèrent pas que je parte, pour la première fois de ma vie j’étais heureuse de pouvoirs partie comme je le voulais.