La Jeune louve sort de sa grotte

En ce printemps, la plus belle des saisons, Je dévorais de la viande de biche fraîche avec la meute de loup que je protégeais des attaques humaines. Ce jour là je pris la décision de me balader.Ce jour là je pris la décision de me balader. En descendant de la falaise j'étais toute émoustillée a l’idée de sortir de ma grotte et l'odeur des cerisiers était si délicieuse qu'elle e fit oubliée que mes vêtements était salle,que j'étais couverte de sang et surtout que ma vie était faite de chasse et d'eau d'un misérable ruisseau.J'avais parcouru une bonne dizaine de kilomètres quand j'aperçu de grandes grilles noire en fer forgé qui protégeait une bâtisse blanche. Sur une petite pancarte je li "Pensionnat Phoebe". J'attendis de longues heures dans l'espoir que quel-qu'un vienne me chercher mais personne ne vient. Tous mes espoirs avait disparu,je pleurais je m'accrochais aux grilles de toutes mes forces et je me mis a hurler de désespoir. Je ne croyais plus en rien quand j'aperçus un jeune homme blond qui me tendit la main. J'étais si troublée que je la lui mordit, malgré cela il me prit dans ses bras et me mis en pyjama, il me fit dormir dans un lit propre et moelleux. Le lendemain matin il me dit qu'il s'appelait Lemon.Juice.Ericson et qu'il était surveillant dans ce pensionnat et qu'il venait de m'y inscrire. Je pris un bain et mit des vêtements propre et puisque j'avais une journée à tuée j’entrepris de visiter tout le pensionnat. Je venais de visiter les salles et la bibliothèque lorsque je descendais les escaliers a cloche pied en direction du hall quand je vis une jeune fille à la chevelure rousse flamboyante venir a ma rencontre.

En ce beau matin de primtemps, je me réveillai à une heure raisonnable pour aller en cours. J'allai prendre mon petit déjeuner au refectoire. Je prit une simple toast avec de la confiture au fraises. Après cela, je retournai à ma chambre prendre des vêtements de rechange pour me changer après la douche que j'allais prendre.

Une fois dans ma douche, je ne m'éternisai pas trop longtemps, à peine une dizaines de minutes et j'étais sortie. Je m'habillai et étant trop paresseuse pour me shécher les cheveux, je ne fis que les attacher en deux couettes avec des ruban bleus qui s'angençait avec la couleur de ma jupe. Je sortie des vestiaires en allant porter mes affaires dans ma chambre. Puis, j'en ressortis et allai me promenner un peu avant le début des cours.

Après être passé dans le hall, je m'aprêtai à monter les escaliers lorsque je vis une tête blonde que je n'avais jamais vu avant. Je pensai tout de suite qu'elle était nouvelle. Je m'approchai donc de quelques pas et lui sourit

- Bonjour, tu es une nouvelle je suppose.
Je lui fit mon plus joli sourire pour lui indiquer que je n'étais pas une fille méchante et que si elle avait besoin d'aide, elle pouvait me demander

La jeune fille rousse s'avança vers moi quand elle me dit :

- Bonjour, tu es une nouvelle je suppose.

Et a ce moment là elle me fit un sourire radieux qui me donna envie de la connaitre et d'être son amie. Je n'avais pas vus un aussi beau sourire depuis bien longtemps. A ce moment là je chuchotis quelque chose d'inodible tellemtn je parlis doucement

-Bonjour je m'appelle Summer et je suis nouvelle et toi ?

Bien évidement elle me demanda de répéter mais elle le fit d'une manière vraiment gentille ce qui me fit répetter un peu plus fort ma phrase.

-bonjour je suis nouvelle et je m’appelle Summer et toi ?

Après cette présentation expédiée je m'aperçus que le Hall était vraiment magnifique avec ses couleurs pourpre et ses tableaux ses colonnes en marbre et ses lustres. Je me demandais si tout cela n'était pas qu'un rève qui tournerait au cauchemar a mon réveil.

Tout en continuant à lui faire mon plus beau sourire j'attendis qu'elle me réponde. Elle le fit finalement mais d'une façon à peine audible que je fronçai les sourcils tentant de comprends.
- Pardon? lui dis-je après avoir vraiment tenter de la comprendre
-bonjour je suis nouvelle et je m’appelle Summer et toi ?

Elle s'appellait Summer... C'était un jolie nom. Son nom me rappellait les belles douceur d'été. Les magnifiques moment qui avaient pu se dérouler dans ma vie en cette saison. Bref, cela me rappellait des souvenirs, innoubliable certes, mais que pour le moment, que je voulais mettre de côté pour me concentrer sur la nouvelle.

Après quelqu'un instant de réflexion, je me rendis compte que j'avais toujours les sourcils froncés. Je me demandais ce qu'elle pensait de moi à cet instant. Pensait-elle que j'étais ennuyé? Frustrée? Je n'en savais vraiment rien. Je reprit donc mon sourire et lui dit:

- Moi c'est Amayelle Maeda, mais j'aime mieux juste Ama, ça fait moins long.

Je me retournai un peu pour voir où elle regardait. Ah oui, le hall. Le premier endroit que j'avais vu lorsque j'étais arrivée ici. Déjà a ce moment, je le trouvait fabuleux et il m'inspirait confience et j'avais bel etbien raison. Toute ma vie était désormais lié à ce pensionnat et j'adorait cela.

Je me retournai vers Summer après avoir contemplé le hall un petit peu.

- Cherche-tu quelque chose? Où un endroit en particulier?

Quand j'eusse dit a la jeune fille mon nom elle se mit a songer très profondément qu'est ce que mon nom lui inspirait ? :Du dégoût de la joie de la répugnance de l'attirance ou encore de la jalousie ou du bonheur ? je n'en savais rien du tout elle se mit a faire une moue étrange quand son visage changeas littéralement d'expression elle me fit un grand sourire un peu hypocrite a mon gout et dit:

- Moi c'est Amayelle Maeda, mais j'aime mieux juste Ama, ça fait moins long.

Ce nom me parut bizarre mais super mignon je lui sourit donc puis observas la beauté majestueuse du hall quand elle me demanda:

- Cherche-tu quelque chose? Où un endroit en particulier?

Comme je me baladais juste je lui dit:

-Non je me balade juste un peu histoire de connaitre ma nouvelle maison c'est tout

Je remarquais donc que j'avais pleins de cicatrices partout sur le corps et que sa devait lui paraître étrange je cachais donc celle de mon bras gauche avec ma main droite en lui souriant.

**Dossier du Pensionnaire**