Garion marchait, son sac sur son épaules droite. Il marchait droit vers le pensionnat, les membres de la villes avaient tout organisés il faut dire. Organiser son voyage, son arrivé. Le vent soufflait un peu, mais rien de dérangeant pour Garion, il continuait à marcher, le visage neutre. Ils pensent qu'il pourra de nouveau s'épanouir, de nouveau sourire sincèrement. Chose ardus pour lui, il avait tout perdue et de plus ses souvenirs le hantaient. Il se revoyait à chaque fois dans ce couloir, maculé de sang, des hommes le traînant et s'excusant. Lui expliquant qu'ils faisaient ça pour que leurs enfants et leurs femme n'aient rien. Garion ne leurs à jamais en voulue, à vrai dire il pense qu'il aurait fait le même chose... Ou pas, il ce serai contenter de frapper à mort celui qui aurait le malheur de s'en prendre à ceux qui lui sont cher. La porte était à quelques centimètres de lui désormais, il l'ouvrit brusquement et entra dans le pensionnat, il entra et sorti de ses souvenirs en même temps. Il fut impressionner par la grandeur du hall où il venait de se trouver, observant chaque fenêtre, chaque structure. Cela semblait aussi grand que dans le château en ruine.... Il soupira et posa son sac, on lui avais dis que quelqu'un viendrai le chercher et regarda autour de lui. Pourtant il se perdit encore dans la contemplation de la salle... En regardant autour de lui, c'est alors qu'il aperçut une jeune fille aux cheveux blond et aux yeux bleues. Il ne pouvait pas s'empêcher de l'admirer, bien que ce soit la première fois qu'il admire quelqu'un. Il restait à distance, l'observant. Une habitude chez lui, il observe... Enfin une habitude qui s’efface peu à peu. Il grimaça en se souvenant qu'il avait détruis la serrure de la porte de l'homme qui l'avait héberger. Il pensait que la porte était coincé alors qu'elle n'était juste que fermer à clef et l'homme avait agiter les clef devant lui une bonne minutes.

Je commençait a me perdre en rêverie quand j‘aperçu le nouvel arrivant . Enfin celui qu‘on m‘avait demander de guidé se trouvait dans le pensionnat. heureusement car je commençait a croire qu‘il n‘arriverais jamais . souriante, je m‘approchait de lui, prête a me présenté lorsque que je me figeait dans mon élan . Ses grand yeson gilux noir, son gilet qui laissais apparaître son corps muscléet ses cheveux d‘une couleur si etrange et pourtant si belle...tout en lui faisait battre mon cœur que je croyait pourtant de glace. Fronçant les sourcils, je me secouait . Je n‘allait tout de même pas tombé amoureuse, pas moi ! Et pourtant il semblais bien que si... Prenant conscience que mon comportement devait lui sembler étrange, je m‘approchait avec l‘intention cette fois d‘être relativement froide, chose qui me fut impossible a faire dès que mon regard ce posat a nouveau sur lui . Les joues rosit par une timidité dont je croyait mettre débarrasser, je me présentait a lui.

-hum...bonjour ...je suis Teira Tsukiyomi, on ma chargé de te guidé dans le pensionnat ...hum...Garion si je ne me trompe pas ?

Je remarqua que la jeune fille qui se présenta à moi venait de rougir, ne comprenant pas pourquoi je me contentait de hocher des épaules. Après tout ça ne voulait pas dire beaucoup de chose. Seulement... Elle venait de parler de façon timide, je ne pouvais pas m'empêcher de la regarder maintenant de façon intrigué. A la vue de cette fille timide aux cheveux blanc qui rougissait en me regardant... Je remarqua que je ressentais un mélange d'émotion encore trop confus pour moi. Jamais je n'avais ressentis de pareils émotions, qu'est-ce ? Je l'ignore... Peut-être le saurai-je plus tard. Hochant affirmativement de la tête et ramenant la lanière de mon sac sur mon épaule je lui répondis :

-O.k, je te suis alors. Au fait, je m'appelle Garion. Garion Fordring.

Je continuais de la détaillée du regard, elle avait de long cheveux blanc, vraiment long. Elle est vraiment belle... Secouant frénétiquement de la tête comme pour me reprendre, je continua de la fixer. Je me posais déjà beaucoup de questions, qu'allai-je faire ici ? Où dois-je aller ? Il y en avait encore plein, les plaçant de côté j'avais décidé de les repousser à plus tard. Je me remis à regarder autour de moi, c'était la première fois que je voyais un décors chaud et si richement décoré. Je m'en sentirai limite presque mal à l'aise... Moi qui m'étais battue dans un cachot d'un château afin de conserver ma raison et ma liberté... Il détourna son attention vers la jeune fille, sentant qu'elle allait de nouveau parler, je me préparai à l'écouté.