(Cinq traits de caractère minimum.)
Au premier abord, je peux paraître froid et asociale.Cependant, lorsque je parle un peu avec ses personnes ont me trouve sympathique, effrayant, stupide, amical, fou… Selon les personnes à qui je demande leurs avis sur mon caractère, cela varie. En fessant un synthèse, on obtient un résultat étonnant pour certain, logique pour d’autre. Juste pour vous je vais vous donner les résultats de cette enquête : pour la majorité des personnes je suis agréable, sympathique et amical. Et pour les autres, je suis fou, stupide et superficiel. Je me demande pourquoi il y a tant d'avis différent. Pour ma part, je me trouve sympathique, de temps en temps fou et amical.

(Dix lignes minimum.)
Je naquis dans une dictature dirigée par un tirant, sans cœur et un mépris sans borne pour ses concitoyens. Cet ignoble homme avait un secret, que mon père refusa de le révéler. Cet homme avait un fils qui était dans la même classe que lui; son allure restera toujours gravé dans ma mémoire, vous voulez savoir pourquoi ? Lorsque j’avais 8 ans, ma mère ne reviens pas un soir, mon père partit la chercher, il ne trouva qu’un mot au travail que le dictateur lui obligeait à faire : « Toutes les familles qui s’opposent au Roi mourront ». Le « Roi » était le nom que le dictateur c’était approprié. Je compris que ma mère avait été tué par cet ignoble homme. Mon père reviens et me dit : « mon fils, FUIT ! Quelqu’un va venir te tuer ! » Il m’en mena dans ma chambre attrapa mon sac à dos, mis toutes mes affaires, un peu de nourriture et une photo de famille (où l’on voit moi, ma défunte mère et mon père) ; me le donna, m’embrassa une dernière fois, puis m’emmena à la gare pour me mettre dans le premier train qu’il pouvait. Le train ne venait même pas de démarrer que des militaires arrivèrent sur le quai, certains tirèrent sur mon père ; et d’autres grimpèrent dans le train. Ils me cherchaient. À cette époque, j’étais assez petit et j’arrivais à me glisser sous un siège avec mon sac à dos. Ici, je me sentais en sécurité. Une fois arrivé à destination ; je sortis du train en courant et partit me cacher quelque part dans la gare. Je restais caché pendant quelques heures dans un tuyau d’aération. La nuit arrivée, je fuis de la gare. Ce qui suivit, j’avais très froid et me sentais en insécurité, une chose bizarre se produisit, mon corps se transforma, en lynx, j’étais effrayer. En me concentrant, j’arrivais à reprendre ma forme normale. Une fois cette particularité découverte, je divaguais pendant quelques années, essayant de vivre tant bien que mal, en chassant sous ma forme animale; avant de tomber sur un journal, dans une forêt. Je le lu et je trouvais une photo de… OUI ! C’ETAIT LUI ! LE FILS DU MEURTRIER DE MA MÈRE ! Je vengerais ma mère en le fessant souffrir. Comment s’appelait-il ? Pampa Kaktu. Je regardais l’intitulé du journal : « LE JOURNAL DU PENSIONNAT » puis l’adresse ; il n’y en avait pas. Je fouillais cette forêt de long en large ; avant de trouver un grand portail où était inscrit : « PENSIONNAT PHOEBE ». J’entrais dans ce lieu et me rendit à l’accueil, où je pris les papiers d’inscription ; une fois toutes les modalités d’inscription réalisées, je cherchais Pampa, et que se soit clair ; il va souffrir.