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Une famille vivait dans une maison luxueuse avait un enfant. Arrivé à un certain âge, ils avaient prit la décision de faire de leur fils la bonne de la maison pour ne plus avoir rien à faire chez eux en rentrant du travail. Seulement, il n'ont pas prit en compte son âge... Et oui, il était encore jeune. Ils lui apprirent tout ce qu'il devait savoir. La famille concerné étaient des yajuuh phoques. Il s'appelait Pepito. Il exécutait bien les tâches ménagères qui lui était donner seulement, il voulait aussi un peu s'amuser, jouer ou même avoir un peu d'affection quelque fois. Malheureusement, il n'avait aucun droit. Il devait juste faire ce qu'on lui disait et rien d'autres. Son temps libre, il devait rester dans sa chambre qui comportait qu'un lit et une armoire avec ses affaires dedans. Il s'ennuyait beaucoup en dehors du ménage. De plus, il n'avait pas le droit de sortir dehors à part quand il était accompagné de l'un de ces parents qui lui tenait la main. Ils avaient bien trop peur qu'il prenne la fuite.

Malgré qu'il était malheureux, et point heureux dans cette famille. Il devait paraître comme tel devant leurs amis, la famille. Il se devait d'avoir toujours le sourire aux lèvres. Quelque soit les paroles blessantes ou non. Il devait tout garder en lui sans jamais craquer. Il devait toujours être fort moralement. Il était blessé mais il pardonnait non pas car il le souhaitait mais par obligation. Sourire quand on a mal, c'était dur mais pas impossible. Pardonner ce qu'on pouvait appeler d'ignoble … Et pourtant …

Un jour, il fût malade et se sentait vraiment mal mais il ne fit pas part de son état à ces parents. Alors comme à son habitude, il se leva pour commencer le ménage seulement, il eut un vertige. Il tenait à peine debout. Des gouttes de sueurs coulaient sur son front. Le visage pâle tel un vampire … Suite à ça, il décida de rester coucher car il lui était impossible de faire quoique ce soit dans ces conditions. Il s'endormit au bout de quelques minutes. Il dormit une grande partit de la journée jusqu'à ce que la femme arrive et voit que rien n'avait été fait dans sa maison. Il appela Pepito en criant de colère et se dirigeant vers sa chambre. Elle ouvrit la porte de sa chambre et alluma la lumière. Elle ne prit pas le temps de l'écouter, qu'elle le prit par le bras pour qu'il se lève et le jeter vers la porte afin qu'il fasse son devoir. Mais il ne tenait à peine debout. Il essaya de lui expliquer le pourquoi mais elle ne voulait rien entendre. Elle se fichait de son état ! Pour elle, il devait les servir même si il devait y laisser la vie. D'après elle, il lui leur devait tout donc aucune excuses n'était acceptable. Elle prit cela comme un manque de respect et de la non reconnaissance.

Quand le mari rentra, il apprit la nouvelle et fut tout autant furieux que la mère. Ils prirent une décision de le punir. Il décidèrent de l'enfermer dans sa chambre un ou deux jours ! Mais avant qu'ils ne puissent faire ce qu'ils voulaient, il courut vers la porte d'entrée et prit la fuite hors de chez lui. Après plusieurs heures de marches, il fut informé qu'un pensionnat accueillait les yajuuh alors il prit la direction de celui-ci.