(Dix lignes minimum.)
Mon histoire, c’est une perte tragique suivit d un combat pour mener une vie.


Tout commence dans un petit village éloigné ou seul les membres d’une même famille y habitaient. La vie y était si belle, la joie sur chaque visage, c’était merveilleux… Un tableau parfait, sublime, magnifique, il n’y avait aucune tâche même pas une ombre. Chacun y avait sa place, nous vivions en parfaite harmonie.
C’était le Paradis! Aucun ne voulait nous quitter, nous avions tout à porté de mains, notre famille au complet, rien ne pouvais nous inquiété du moment que nous étions ensemble.
Ma mère se nommait Isis et mon père Lucan, mon frère
s’appelait Ian, après sa naissance on m avait fait un collier avec
un C dans un cœur.

C’était un soir de Noël, quelle fête fabuleuse, et tellement magique ! nous étions tous autour d’un grand feu de Can, mes cousins chantaient, mon père et mon oncle les accompagnaient à la guitare, je dansais avec mon petit frère, ma mère ce moquais de notre façon de danser, d’autres discutais…, tous s’amusaient.
PAN !
Nous fûmes tous prit d’une frayeur atroce en entendant ce coup de fusil. Je pris mon frère dans mes bras et partis rejoindre ma mère. Elle me dit : « Mes chéris ! Il faut vite aller vous cacher ! » J’acquiesçai. Nous courrions tout vers nos maisons respectives tels des animaux pourchassé.
Ma mère me dit : « Cache toi vite je reviens, prends ton frère,
ne sors pas avant que tout ne soit finit, ne sors pas quoi qu’il arrive ! » À ses paroles je m’exécutai sur le champ. J’ouvris la trappe sous mon lit et j’y glissai d’abor mon frère puis moi ensuite. Un silence plana quelques minutes puis d’un seul coup on défonça la porte.

Toc… Toc… faisaient les bottes d’un homme qui m’était inconnu. Il dit avec cruauté et méchanceté : « La chasse est ouverte ! Massacré les tous ! » Ceux qui l’accompagnaient partir.
Un frisson parcouru mon échine. Je m’accroupis sans un bruit avec mon petit frère dans les bras. Comme il tremblait je lui chuchotai : « Tout va bien, je te protègerai » ces paroles étaient sans fondement, que ferais je moi minuscule contre une bande de tueurs sanguinaires. Mais cela servis à le rassurer.
Il fouillait, retournait la maison, afin de retrouver ceux qui avaient fuient.
« _ah je te tiens ! Sale peste tu pensais m’échapper ! Il tira ma mère par les cheveux, j’entrouvris la trappe pour mieux voir. Il la jeta par terre, je savais ce qu’il s’apprêtait a faire. Je bouchai les oreilles de mon frère afin qu’il n’entende pas les cris et les paroles. Il la viola… la frappa… la tortura pour qu’elle dévoile notre cachette… Elle ne lui dévoila rien. Il la tua d’un coup de couteau en plein cœur.
Je fut saisie d’une rage intense, par la pensée je fis le couteau se retourner et trancher les entrailles de ce suppôt de Satan. Je marmonna : « je t’es donnée la mort mais ce n’est pas une délivrance, tu erras dans pour l’éternité dans les flammes de l’enfer ! ». Je me recroquevillai et attendit. Mon père se fit tuer d’une balle en plein e tête quelques minutes plus tard.

Ils étaient partis.
Aucun bruit ; Même pas un insecte.
Je sortis lentement et au aguets.
Je fis un sac avec des provisions, deux dagues, un livre ou était écris l’histoire de notre famille et un autre vierge ou je pourrai continuer la suite de l’histoire, je pris un crayon et une pile de livres. J’enlaçai mon frère. Je pris mon courage à deux mains et franchit le seuil de la porte.
Tous morts.
Aucun survivant, bébés, chiens, tous massacrés.


Pendant 2 ans je passai mon temps à essayer de survivre, la guerre se propageait partout. Un beau jour en me levant je me dis : « Quelle vie je mène ? Pourquoi mon frère doit vivre ça ? Il faut que je trouve une solution. »
Durant 1 an je cherchai un bon foyer pour mon frère. J’en trouvai un et le confia à cette bonne famille qui l’accueillit comme l’un des leurs.
Je lui dis avant de partir : « Mon ange cette vie n’est pas pour toi. C’est mon rôle de te mettre en sécurité. Je me dois de mettre un peu d’ordre dans ma vie. C’est a ce moment la que nous pourrons enfin vivre ensemble et en sécurité toi et moi.
Tiens mon pendentif, je serai toujours la prés de toi. Je t’en pris attends moi, lorsque je reviendrai la nous sourira. »
Il me sourit et me dit : « Toi et moi c’est pour la vie. La vie sans toi ce n’est pas la vie. Je t’attendrai ne t’inquiète pas. Merci grande sœur. »

Je parcourue des villes, des villages…
Je perdais espoir la lecture et l’écriture me réconfortais et me faisaient rêver. Mais à chaque fois l’image de mon frère gravé dans ma mémoire me redonnais de l’espoir. Je devais continuer, pour LUI !

Je parcourrai une forêt épaisse et brumeuse. Je vis quelque chose au loin, quand je le découvris je sus que c’était ce qu’il me fallait : le Pensionnat Phoebe.

Ce qui nourrit les rêves c’est l’espoir, grâce à cela tout nous est possible.
Ma vie n’est certes pas la meilleur mais mon exemple est la preuve réelle que l’on peut toujours sortir la tête de l’eau. Même si nous sommes brisés nous pouvons nous reconstruire.

Mon rêve, Mon grand espoir