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 Un journal retient bien des secrets.... ~ Journal d'Eleanne °

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MessageSujet: Un journal retient bien des secrets.... ~ Journal d'Eleanne °   Un journal retient bien des secrets.... ~ Journal d'Eleanne ° EmptyLun 19 Sep - 21:53




Un journal retient bien des secrets.... ~ Journal d'Eleanne ° Iconeg10


Journal

Nom : Azgarde.
Prénom : Eleanne.
Yajuu : Aérien - Koumori.

Sexe : ♀
Rang social : Plutôt aisé.
Âge : 18 ans.

Particularité : Don de vision.
Travail : Etudiante.
    -Page n°1-


    - Préambule :

    Cher journal, je suis ravie de pouvoir écrire mes sentiments sur tes pages. Moi qui ne parle que rarement, je préfère écrire. Plus qu'à espérer que personne ne viendra à te trouver. Pas d'inquiétude mon cher, je te cacherais de la vue de tous. Pour commencer, je pense que je vais te parler de mon mal-être. Comment pourrais-tu me comprendre sans cela ? Je pense que tu ne pourrais pas. Depuis la mort d'Orlain, j'ai l'impression d'avoir un vide en moi. Comme si l'ancien moi et le moi du présent s'entre-choquait sans arrêt. Je ne me souviens plus de grands-choses avec Orlain. Et cela me fait peur... Et si je venais à l'oublier ? En ai-je le droit ? Oublier quelqu'un qui vous a toujours soutenu, c'est cruel. Crois-tu, mon si cher journal, que j'oublierais Orlain un jour ? Je me souviens qu'il me souriait rarement. C'est probablement pour cela que son dernier sourire reste marquer en moi. Comme une blessure que l'on ne peut s'empêcher de toucher pour ressentir encore une fois la douleur. Son sourire ne quitte pas mon esprit. Mais peu à peu, depuis que je n'y pense plus vraiment, il devient flou. Je pense être en train de l'oublier. Orlain est mort. Il m'a quitté ainsi que tout les gens qui le connaissaient. Pourtant, j'ai le coeur fendu de me dire que certaines personnes l'on probablement déjà oublier. Et c'est probablement aussi pour cela que j'ai peur de franchir ce pas vers l'oubli qui me permettrait pourtant de mieux dormir. Lorsque ce n'est pas le sourire d'Orlain qui hante mes nuits, c'est le rire de Shou. Quelque part, j'ai l'impression d'avoir autant perdu Shou qu'Orlain. Je pense bientôt écrire une lettre à maman pour demander de ses nouvelles et tenter de savoir quand Shou reviendra de son tour du monde.

    Je me sens seule, je dois l'avouer. Sans Shou et Orlain, je crois que ma vie n'est plus la même. L'air froid mais captivant de mon tendre cousin et le sourire charmant de mon meilleur-ami, ils me manquent tant. Suis-je amoureuse de Shou ? Mon coeur est-il prisonnier de son être ? Je l'ignore. Je ne le reverrais plus alors autant me résigner. Le temps refermera cette blessure probablement. Si la mémoire efface, le coeur, lui, reconstruit. Je ne pourrais jamais reconstruire mon passé, mais je pourrais l'oublier afin de pouvoir mieux vivre. Après tout ce qui m'est arrivé, après tous ses problèmes qui ont coûté la vie d'un de mes êtres chers, je pense avoir besoin de repos. Toute ma vie, jusqu'à ma mort, ma cicatrice à la main sera là pour me prouver que mon passé pourrait me rattraper à tous moments. Maman sait où je suis et ne va certainement pas se gêner de le dire au reste de la famille. Je pourrais donc très bien être de nouveau appelé à être auprès d'eux un jour. Si je suis venu ici, dans cette école, c'est pour pouvoir oublier. Pour pouvoir dormir tranquillement enfin. Je suis lasse de toute cette histoire à laquelle j'aimerais enfin mettre fin. Maman ne me comprend probablement pas et c'est certainement pour cela qu'elle a tant voulu me retenir. Mais je ne peux pas rester auprès d'elle. Son visage inquiet restera longtemps dans ma mémoire. L'impression dans son regard que l'on lui arrachait une partie d'elle-même. Une chose est certaine, je ne veux jamais avoir d'enfants si c'est pour un jour devoir agir comme ma mère. Avoir le coeur briser du départ de son enfant, ce doit être terrible. Maman, pour tout ce que j'ai pu te faire vivre, je te demande sincèrement pardon... Et bien, cher journal, je vais m'en aller dormir. Je t'écrirai demain dans la soirée une fois encore avant d'aller dormir. Je pense que ce rythme se répètera pendant longtemps. Sauf si je finis par t'oublier. Pris pour que cela n'arrive pas, mon cher...


    - Mon arrivée :

    Je suppose que je dois te parler de mon arrivée ici... Je trouve ccela déprimant malgré tout. Maman m'a fait tout un cirque pour que je reste, Opaline de même. Au final, il n'y eu que mon beau-père a me comprendre. Il n'a rien dit et m'a laisser faire mes affaires tranquillement en tentant de réconforter ma mère. Ce qui, vous l'aurez deviner, n'avait servi à rien. Donc, cher journal, je vais te raconter mon arrivée ici. En détails mon cher. Je suis donc arriver ici en robe. A quoi t'attendais-tu ? Franchement... Le voyage a était assez éprouvant avec tous mes souvenirs qui revenaient pendant le court laps de temps où nous passions en voiture devant le manoir de Shou. Je pense que ce sera comme ça pendant le temps de me défaire des choses. C'est donc assez rapidement, enfin je le crois, que je suis arriver à la pensionnat. Mes rêves dans la voiture, parce que, oui, je m'y étais endormi, ont étaient doux et j'en suis ravie. Bien évidemment, comme dans toute bonne école, je fus accueillis au début par... Le vent ! Et oui ! A mon grand étonnement, qui bien évidemment vient juste de me venir, qu'il n'y avait personne dans le hall le jour de mon arrivée. Je restais pourtant calme, n'en aillant strictement rien à faire de l'absence ou de la présence de personnes en ce lieu. Je n'avais pû m'empêcher d'attraper une sucette dans l'une de mes valises et c'est donc en mangeant ma sucette ronde et plate à la fraise que je vis une jeune fille venir vers moi en sautillant.

    Une demoiselle aux cheveux roux coiffés en couettes. Elle avait une robe bleue qui lui allait drôlement bien. Elle avait un sourire presque niais aux lèvres et j'avoue que sur le coup je me demandais pourquoi elle souriait. Elle se présenta et se fut le prénom de " Gineta ", objet de mon malheur de prononciation, qui fut découvert. Jamais. Non, jamais au grand jamais, je ne parviendrais à prononcer son prénom correctement. Gineta June, il me semble que je le prononce " Ginata Jone ". Ce n'est pas du tout de ma faute, mais je n'y arrive pas. Et donc mon cher journal, après cette présenter, elle entreprit de fouiller son sac, qui devait d'ailleurs être bien remplit, pour finir en sortir une pochette d'on elle sorti une enveloppe. Cela n'aurait-il pas était plus simple de juste mettre l'enveloppe dans son sac ...? Je cherche encore. Elle prit alors tout son temps pour ranger la pochette, ranger ses documents, ranger son sac. Bref, bienvenue au club Med. Au final, elle me tendit l'enveloppe qui me fit avoir plus de problèmes qu'autres choses. Soit... Leçon n°1, comment porter quatre valises avec une sucette dans la bouche et pas UNE SEULE main de libre pour prendre une enveloppe !... Je pense que j'aurais dû sacrifier ma sucette pour tenir l'enveloppe avec les dents... Mais, probablement, j'aurais finit avec un chewing-gum dans la bouche... Donc j'attrapais l'enveloppe en laissant mes valises au sol ( Han, bien fais pour toi mon petit journal ! Tu croyais que je les avais en main , hein ?! ) alors qu'elle me souhaitait la bienvenue en précisant bien que les papiers donnés étaient les papiers pour ma " vie " en ce lieu ! - En cours -



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