Ce matin, Edo fut réveillé dans sa chambre, extérieure au pensionnat, par un rayon de soleil qui se fraya un chemin entre les rideaux de la chambre. Il s’étira et s’extirpe des draps, puis il prit la direction de la fenêtre pour ouvrir les rideaux. Il regardait l’heure, il lui restait du temps avant de partir en cours ; car depuis qu’il avait la chance de pouvoir aller en cours dans ce pensionnat il s’était mis un point d’honneur à ne jamais être en retard. Il prit la direction de sa petite cuisine pour se préparer son petit-déjeuner. En deux temps trois mouvements, il avala un morceau de pain et une tasse de thé. Il fit un détour par sa petite salle de bain pour s’asperger le visage d’eau et pour se changer. Une fois vêtu, il saisit son sac à dos et mit son manteau et son écharpe, vu le temps friquet qu’il faisait en ce moment. Il sortit de sa « demeure » puis introduit la clé dans la serrure pour la verrouiller. Il sortit du bâtiment en prenant les escaliers.
Ils marchaient jusqu’au chemin de terre qui reliaient, le pensionnat à la petite ville où l’on peut trouver quelques habitations (dont celle d’Edo), des commerces et des bars-restaurants. Un fois le portail franchit il pris la direction des salles de classes en rentrant dans la salle où, apparemment, le cours avait lieu. Il n’y avait personne encore dans la salle, Edo avait tout le choix de sa place. Il pris la table tout devant à côté de la fenêtre, ici, il serait certain qu’il ne serait pas dérangé ni par le professeur, ni par une quel qu’on que personnes. Il s’assit et ôta son manteau et son écharpe qu’il posa sur le dossier de sa chaise. Il inspectait la salle des yeux. Elle sentait la colle et il y avait par endroit de la peinture sur le sol et les tables. Le plus intrigant s’était comment la peinture avait fait pour être sur le plafond… Était-ce un trompe-l’œil ou sur un effet contre nature qui fait que la gravité a été inversée quelques secondes lors d’un travail artistique ? Peut-probable.
Mettons, Edo détourna les yeux et fixa un instant le paysage que l’on pouvait observer depuis la fenêtre qui se trouvait à proximité de son visage. Il observait le soleil levant, rouge-orangé sur un fond rosé ; cela faisait un contraste magnifique mais tout de même assez étrange… On pouvait également observé un partie de la forêt qui s’éveillait… Ce paysage lui rappelait des souvenirs de lorsqu’il était vagabond et qu’il se réveillait de bon matin pour prendre sa forme Yajuu et aller surprendre ses proies aux réveils et n’en faire qu’une bouchée. Ensuite, plusieurs élèves entrèrent, ils prirent des places plutôt situé dans le fond de la classe… Et ainsi de suite, jusqu’à ce que sept élèves soit entré. Il se doutait qu’il devait avoir beaucoup de personnes qui séchait, mais il n’aurait pas apprécié qu’il y ait trop de personnes ; que l’odeur de colle soit remplacé par une odeur de sueur dut au fait que tout le monde soit tassé les uns sur les autres dans une salle qui est certes plutôt grande mais pas extensible. C’est alors que ce qui lui semblait être la professeur entra, souriante, cela reflétait une humeur joyeuse, pour mon premier cours, cela est vraiment super d’avoir une professeur si souriante. Elle portait une chemise ample qui ne semblait pas lui appartenir, cela était plutôt un modèle pour homme, mais bon peut-être est-ce son esprit qui se trompe ? Elle déclara :
- Bonjour aujourd'hui le sujet sera A quoi ressemblerait votre pays imaginaire/pays des merveilles ? Je laisse votre imagination faire le reste. Bonne chance à tous !
Elle avait donné un sujet qui plaisait à Edo, il souriait également, cette joie de vivre que dégageait cette femme était contagieuse… Elle s’assit au bureau du professeur et entreprit la lecture d’un ouvrage littéraire. Il fallait que Edo se mette au travail, il sortit alors son matériel « scolaire » ; une trousse et une feuille blanche. Il entreprit alors de commencer son travail…